Les Lettres DUne Libertine Entre Des Mains De Fer (1/1)
Mon homme me prépare quelque chose de coquin. Je vois bien quil passe beaucoup de temps en chat sur notre site libertin favori. Et deux petits paquets sont arrivés à son attention dans la boite aux lettres.
Puis je su que la soirée ou laprès-midi approchait lorsquil me demanda par texto de lui réserver mon vendredi depuis la matinée et de choisir un mot quil appelait « magique ».
Un mot magique pour qui et pou quoi faire ! Cette demande titillait ma curiosité.
Je lui indiquais donc que javais pris un congé pour le vendredi et que mon mot serait « frissons ». La semaine sécoula de manière très routinière, puis le jeudi soir il mindiqua quil soccuperait du repas et me ferait une surprise, par un texto qui me trouva sur la route du retour.
Jétais donc une femme heureuse en rentrant du boulot. Pas de 2ème journée qui commençait et je navais quà moccuper de moi-même ! Un Grand bain moussant, des bougies parfumées et de la musique douce mattendaient dans la salle de bain et une tenue complète était sortie. Certains éléments étaient même très coquins puisque sur le porte-jarretelles et les bas-couture pliés, trônait mon rosebud de taille L à pierre turquoise.
Je ne comprenais pas le pourquoi du comment puisque le vendredi était
le lendemain ! A coté de mon dressing un sac de voyage avait été déposé et un mot dessus mindiquait : juste quelques affaires pour 2 jours mais pas trop non plus car tu nen auras pas beaucoup besoin ». Nous partions donc en WE qui sannonçait coquin ma foi ou en tous les cas peu habillé. Cest vrai que nous vivions de beaux jours de septembre et que nous avions mis nos corps nus sur le sable chaud, pas plus tard que le week-end davant.
Je me préparais en femme coquine : épilation complète, vérification de la pilosité anale, lavement complet, délassement dans le bain, hydratation de la peau, parfum, maquillage
bref tout ce que vous ne connaissez pas, Messieurs, mais qui participe à votre plaisir de lil, des doigts, de la langue et pas que !
Je descendais dans la tenue choisie et une flute de bulles mattendait aux coté dun paquet.
Jouvrais fébrilement le paquet et à ma grande surprise 4 objets en cuirs, avec de la métallerie en inox, apparurent. Cétait des bracelets, ou plutôt dirais-je, des contentions en cuirs de type menottes que lon peut relier ou accrocher à un support. Je le regardais très surprise, je lui toujours indiqué que je nétais pas dans le trip de la soumission, du BDSM ou autres délire de femme-objet.
Je manifestais ma désapprobation. Il mindiqua que cétait comme les épinards. On ne pouvait pas dire si lon appréciait ou pas avant dy avoir goûté ! Et que nous allions passer 48h chez un complice parfaitement aguerri à ce type de pratique et que nous débuterions par du dirigisme jusquà tenter du BDSM. Il me rappela que le mot « frisson », que javais choisi, prononçable à tout instant mettrait fin immédiatement aux jeux et au WE par là même.
Je failli le prononcer immédiatement car je nétais pas tenté par la perspective. En même temps jeu un flash : les jeux que nous avions eu, entre-nous (voir les lettres dune libertine le pari) mavaient laissés une excitation cérébrale importante et un souvenir qui nétait vraiment pas désagréable, tout au contraire.
Il prit soin de me les mettre aux poignets et aux chevilles, réglant la chose à la perfection.
Puis il prit le sac de voyage, me tendit mon manteau et nous prirent la route pendant 1 heure en direction de Tours.
Une grille aux fers forgés souvrait tandis quun gyrophare orange clignotait. Ainsi apparue une allée seigneuriale de tilleuls. Cest tout ce que je fus admise à voir, car il me présenta le classique bandeau à mettre sur mes yeux. Mes mains devinrent moites et les bracelets de cuir prirent toute leur dimension. Javais déjà pris la posture dune soumise rien quà accepter le fait dy aller. Jenrageais après moi-même de cette faiblesse liée à des souvenirs désormais un peu fanés.
La Voiture simmobilisa et la portière souvrit, une main saisie la mienne et, avec douceur et fermeté, minvita à me sortir du siège. Mes talons prirent appuis sur un dallage, on me fit pivoter, on me cambra, me releva la jupe sans autre forme de procés et une main caressa directement mon fessier, pour en apprécier la douceur, la fermeté et le rebondi.
Une claque tomba sans prévenir sur le gras du rebondi fessier. Je bronchais tout en accusant la surprise ! Sa puissance était fort bien ajustée et le tour de main était expert. Une voix grave et très très charismatisque mindiqua que jétais la bienvenue et quici je serais éduquée à laisser la chienne qui dormait en moi séveiller durant les prochaines heures.
Je voulu répondre mais alors que ma bouche formulait le 1er son, une autre claque ajustée sur la seconde fesse me dissuada de poursuivre. La voix poursuivie : « tu as mis mon cadeau cest bien. Ces bracelets me permettront de briser linsoumission naturelle dont ton mari ma fait part ».
Puis, mon corps pivota à nouveau, mes mains saisies et lon me guida à gravir un escalier, passer une porte, marcher sur une moquette ou un tapis, descendre des marches puis mise à genoux sur le matelassé dun siège, bras appuyés sur le dossier et tête courbée. « en signe de respect, mindiqua la voix ». Du respect ? Mon cul oui
de la perversion typiquement masculine !
Ma jupe était retroussée à nouveau, mon shorty descendu sur mes genoux sans autre fioritures et une main apprécia à mon nouveau mon fessier et manipula le rosebud et tester ainsi la souplesse de mon anneau de bronze. La voix manifesta son appréciation sur la qualité de lobjet mise à sa disposition.
Un doigt parcouru alors ma fente, en écarta les lèvres humides, se fit inquisiteur sur lentrée de la vulve, frôla le clitoris avant de quitter la zone en caressant mon mont de Vénus. Une main se posa alors comme une caresse sur ma joue ; glissa sur le menton et me demanda douvrir le bouche.
Mes mains furent rassemblées et le mousqueton verrouilla les deux bracelets ensemble. Une boisson fut portée à mes lèvres. Cétait bienvenu, ma gorge était sèche de stress et dappréhension. Joptais pour du champagne mais il y avait quelque chose en plus dedans, fuité et doux. Je buvais à chaque fois que la coupe se présentait à mes lèvres et autant vous dire quelle se présenta souvent pendant que lon me caressait les fesses, le sexe, les jambes et le visage.
Une corde fut passée dans mes bracelets et elle fut tendue devant moi, forçant mes mains à se plaquer sur le rebord du siège. On repoussa mes mollets vers le capiton du bord du siège et mes chevilles furent fixées à une barre de maintien. Je me trouvais sans défense, cul cambré en arrière, ne pouvant plus refermer mes jambes et protéger mon sexe.
La voix se présenta devant moi et mindiqua « tout commence maintenant, un acte de bravache sera suivi dune sanction. Tu me dois obéissance petite chienne et je ne tolère absolument pas le contraire. Ton mot magique prononcé te libérera de cette obligation à linstant ». Puis son pouce appuya sur mon menton pour mindiquer douvrir la bouche. Ce ne fut pas la coupe de bulle que lon me présenta mais plutôt un gland que jestimais énorme, en forme de champignon. Il força ma bouche et senfonça en elle. Je déglutissais avec peine, sentant que la membrure simposait et cherchait à aller le plus loin possible. Pas de va et vient, juste centimètre par centimètre, comme si elle cherchait à mesurer la profondeur de ma gorge. Je ne pouvais plus respirer, tellement cela me remplissait.
Puis linstant libératoire, lair frais qui suit le retrait en arrière du monstre, la salive qui brusquement monte, un râle spontané qui jailli de vos cordes vocales et soudain la baffe sur ma joue.
Puis à nouveau la libération et je me concentre à reprendre mon souffle et volontairement je reprends le mouvement de moi-même. Je mapplique pour éviter la baffe ou la brimade. Dieu que ce WE va être long !
Puis cest mon cerveau qui prend le relai, qui fait de moi lobjet, la chienne qui est attendue par la voix. Je monte le rythme, augmente le temps de suffocation et vient pousser ma gorge sur le pubis velu qui est parfumé. Je sens le gland qui vit dans ma gorge, qui palpite, les veines qui se gonflent le long de la membrure. Ma langue entoure, caresse et quitte à regret ce membre et y retourne de son plein gré.
La voix mindique soudain de stopper, mais jen décide autrement, je rengorge le sexe qui vient buter au fond et qui soudain tressaute, gicle et se vide avec épaisseur et volume. La voix râle, des mains me prennent la tête et il me ramone la bouche avec rythme pour littéralement se finir.
Javale, je dégluti le volume en plusieurs fois, ma langue caresse et nettoie ce quelle peut du sexe qui reste bien bandé. Les mains quittent ma tête, le sexe sort de ma bouche et soudain encore une baffe. Une vraie, de celles où tu sens la colère de lautre dans lappui des doigts. Jai mal et je moffusque du traitement. La voix est en colère, elle me sermonne, elle me rappelle à lordre, aux consignes données.
Mais moi je men fiche, en fait je me sens excitée davoir désobéis, et ma fente shumidifie de la situation. Et oui jen fais quà ma tête dit souvent mon mari et il nest pas né celui qui saura me dompter ! La voix va me punir pour çà, je le sens, je le sais. Elle le rappelle à mon bon souvenir.
Mon rosebud est retiré sans ménagement, mon anus est écarté violemment au passage du renflement de lobjet de taille L. Jaccuse le coup sans broncher pour ne pas donner du plaisir sadique à la voix. Brève douleur qui nest pas finalement pas i inintéressante que cela, ma foi.
Mais ce qui a suivi me fit perdre définitivement toute velléité dhumidité sexuelle et de vouloir faire la forte tête.
La voix mannonça que jallais subir la punition dédiée aux domestiques anglaise qui désobéissaient au siècle passé. Quelque chose se frotta sur mon anus, suivi dune sensation de chaleur intense, presquune brulure. Puis lobjet froid, dur et humide fut introduit dans mon anus déjà travaillé par le retrait du rosebud. De ce fait, il ny eu pas la résistance naturelle habituelle et la brulure intense de la paroi de mon rectum me fit bondir et gémir. Jétais attachée et javais beau remuer, serrer lanus, lobjet navait pas lintention de ressortir. Et le comble était que plus je serrais plus cette chaleur intense se propageait.
Cétait cuisant plus que douloureux mais de ma gorge sortait des sons de désapprobation, qui furent vite masqués par la boule de nylon que la voix inséra dedans. « Nous allons moins tentendre et vouloir désobéir maintenant ! ».
Une main intensifia la courbure de ma croupe en appuyant sur mes reins et le gras de mon fessier se mit à subir une belle fessée. Appuyée comme il faut, cinglante, visant au plus juste la même zone de chaque fesse. Entredeux tombé de main, jimaginais la coloration virer du rose au rouge intense !
Au départ je maudissais mon bourreau, mes chairs envoyaient des signaux de détresse qui allaient de mon fondement interne jusquau sexe. Puis la douleur devint chaleur, et celle-ci couvrit celle qui enflammait mon rectum se contractant à chaque frappe de la main.
Enfin, la douleur laissa la place à un mélange étrange fait de crainte et de plaisir. Je ne luttais plus vraiment et mattachais à tenter de recracher la boule de nylon avec ma langue pour mieux respirer et caler mes expirations sur le mouvement de métronome de la main de la voix.
Ce fut sourd, intense et bien mystérieux mais toujours est-il quun orgasme presque imprévu ou impossible vient me cueillir lorsque la main dérapa et que les bouts de doigts vinrent frapper mes lèvres et riper jusquau capuchon. Mon fessier avait des spasmes et je me mis à couler dun seul coup.
Ce fut un acte libératoire, mon bourreau stoppa net son geste, certainement pour admirer son uvre. Il me retira avec délicatesse la chose insérée dans mon fessier en feu, puis se saisi de la boule de nylon que javais presque réussi à évacuer de ma bouche.
Celle-ci ouverte et bavant expulsa alors le mot
« frissons ». Mon cerveau reprenait ainsi le contrôle et demandait larrêt immédiat des jeux alors que mon corps subissait encore les ondes du plaisir libéré.
Je fus détachée sans un mot, essuyée avec délicatesse et remise sur mes pieds.
Des mains mont soutenue et recouverte de mon manteau. Quelques messes basses accompagnèrent notre trajet inverse que je reconnu.
Une porte que lon ouvre, on me penche la tête de la paume de la main et lon minvite à massoir. Le moteur tourne. La porte claque, la voiture démarre lentement, comme à regret.
« Tu as pris toutes mes affaires » lui demandais-je, le bandeau encore sur les yeux. « Oui » - Un simple oui neutre.
Jappris plus tard en me renseignant, que cette fameuse punition des domestiques anglaises consistait en lintroduction dune racine de gingembre fraichement pelée dans leur anus en guise de plug et que cest le jus de la plante qui provoquait cette sensation de chaleur intense. La pratique se nomme « figging » et était accompagnée dune fessée déculottée délivrée à la main ou à la badine. Il est fait mention dorgasmes spontanés, en cette occasion donnant lieu de croire au bourreau que la victime appréciait particulièrement le traitement.
Mon anus, quand à lui, sen souvint durant près de 72h, me laissant cette sensation si particulière davoir été baisée et limée durant des heures par cet orifice !
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